Dans mon précédent article du 5 novembre 2017, «Appréciez le kimono comme vous voulez», j'ai écris qu'il y avait deux cultures différentes à Kyoto associées aux kimono. Aujourd'hui, je voudrais vous présenter l'un d'eux, la culture Kimono à Hanamachi (花街, les quartiers Maikos et Geikos résident et travaillent pour).
Pour Maikos et Geikos, les Kimonos sont plus comme des publicités. Le port de Kimonos beau et de haute qualité est l'exigence minimale et indispensable pour elles. J'ai entendu dire que les Yakata (屋 形), qui hébergent des maisons où Maikos et Geikos vivent et travaillent au cours de leur carrière, offrent des Kimonos chers dans l'ordre du volume des ventes. En même temps, si vous portez des Kimonos chers, vous aurez plus de chances d'être appelé à un bon Ozashikis (お 座 敷), un banquet avec Maikos et Geikos dans une salle japonaise traditionnelle Tatami, ce qui signifie que vous aurez plus de chances d'augmenter vos ventes. .
Un autre sujet ici est Darari no Obi (だ ら り の 帯) pour Maikos. Obi est un terme générique désignant les ceintures de kimono qui se fixent généralement à l'arrière en nœud ou carré, tandis que Darari no obi, obi long et à crête dont les deux extrémités sont attachées à l'arrière, sont exclusivement portées par Maikos.
Il y a longtemps, alors que le Japon n'avait toujours pas établi son système éducatif, la plupart des Maikos n'étaient que des enfants de 10 ou 12 ans et ils se sont souvent perdus en revenant d'Ozashiki. Dans de tels cas, les gens pouvaient dire de quel Yakaya ils venaient en regardant la crête des Yakata sur le Darari no Obi. Les crêtes sur Darari no Obi étaient en quelque sorte des étiquettes d'identification.
La chose intéressante est que chaque Hanamachi avait une méthode unique de comment croiser les deux extrémités de Darari no Obi. Les gens pouvaient aussi savoir d'où vient Hanamachi le Maiko en observant le point de croisement de l'Obi.
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